Leek Wars : intro

Ce jeu web riche et rigolo propose un didacticiel. Oui, promis ! Mais on va quand même le décortiquer pour aller encore plus loin.

Pour un rappel rapide de ce qu’est Leek Wars, je vous propose de (re)lire l’article du 21 février sur “La guerre des poireaux”.

Si vous hésitez encore un peu à vous inscrire, ou si vous l’avez fait et craignez de n’avoir pas tout saisi, nous allons passer en revue les premières minutes du jeu (puis sur d’autres articles aller encore un peu plus loin).

C’est quoi ça ?

UN FORMULAIRE D’INSCRIPTION !! (vous avez un parrain, hein ?)

Votre nom d’éleveur est celui qui vous suivra durant toute votre carrière d’entraîneur de poireaux (ou lanista si vous êtes en mode old school). Le nom du poireau est celui de votre premier poireau, mais vous pourrez en avoir quatre au total.

Il se passe quoi ensuite ? Devinez !!

UN MAIL DE CONFIRMATION !!

Bon, ok, là vous êtes en train de vous demander si je vais vous tenir par la main pour chaque clic. Alors, d’un côté, c’est oui (sur cet article en tout cas), et d’un autre côté… comment dire… je vais tâcher d’apporter des détails utiles à chaque étape. Sauf celle-là. Là vous avez juste à cliquer sur un lien que vous recevrez par mail, je peux rien faire pour vous. Ouste.

Revenons-en aux choses sérieuses, il se passe quoi ensuite ?

LE DI… ok j’arrête avec les majuscules. Le didacticiel, pardi, allais-je écrire.

Où l’on aborde la question du multijoueurs. Suivant le temps et l’énergie que vous voudrez consacrer au jeu, différentes approches sont possibles.

  • Jouer “solo” signifiera tout de même affronter d’autres poireaux gérés par des humains, mais ça n’implique pas d’avoir à discuter avec qui que ce soit. On peut tout à fait avancer en mode loup solitaire.
  • Jouer en équipe passera par le fait d’en trouver une (parmi la pléthore d’équipes déjà en place), ou d’en créer une nouvelle ! Cela ouvre la possibilité de faire combattre vos poireaux encore plus souvent (grâce aux matches d’équipe). Mais là, bien sûr, ça n’a de sens qu’avec un minimum de communication et collaboration (un espace de chat d’équipe est mis à disposition).

On continue avec la 2ème fenêtre du didacticiel :

Les caractéristiques d’un poireau.

Une dizaine de caracs différentes (la fréquence et l’agilité étant somme toute peu utiles). Ce qui est important à savoir à ce stade c’est que tout ceci n’aura rien de définitif : si vous estimez avoir mal construit votre poireau à un moment donné, vous pourrez toujours acheter une potion de réinitialisation qui permettra de répartir à nouveau ses points de caracs comme vous l’entendez.

C’est d’ailleurs utile, même si on ne s’est pas planté, car à partir d’un certain niveau certaines caractéristiques perdent en importance par rapport à d’autres (on peut basculer sur un poireau fort en magie à partir d’un certain stade par exemple, mais au début ça ne sert à rien d’y mettre des points).

Vient ensuite…

L’intelligence articielle (pseudo-IA dirons-nous)

On est ici sur de l’IA à l’ancienne, algorithmique. Codé en Leek Script, un langage spécifique très simple. L’exemple donné là peut paraître obscur si vous n’avez jamais programmé, mais rassurez-vous : le code initial de votre poireau sera très facile à lire, à comprendre, et à améliorer.

Si on veut rapprocher le Leek Script d’un autre langage, je dirais que ça ressemble à du C# (“C Sharp”) et/ou du PHP. En tout cas ça reprend des éléments de syntaxe très communs : le point virgule pour séparer les instructions, les accolades pour les blocs d’instructions, etc.

Tout ça pour quoi ?

Pour la BASTOOOOOOOOOON !!

Chaque jour, 50 combats seront disponibles (un peu plus si vous intégrez une équipe). C’est l’occasion de causer modèle économique, F2P, tout ça tout ça !

Soyons clairs : le jeu est gratuit et bien gratuit. On peut apporter une contribution financière qui nous procurera des cristaux, échangeables contre de nouvelles couleurs de poireaux (et de zolis chapeaux), mais on est du coup essentiellement dans l’esthétique.

Il est quand même possible d’acheter avec des euros plus de jetons de combats, ce qui dans l’absolu permet de progresser plus vite. Mais d’une part rien ne presse, ça reste un jeu au long cours. Et d’autre part ça reviendrait vite très cher de se payer une progression accélérée. Je pense que la plupart des contributeurs ont (comme je l’ai fait) payé pour encourager le jeu une fois ou deux et simplement s’acheter des couleurs chelous (les poireaux verts c’est has been, non ?)

En tout cas, il est important de rappeler qu’il est impossible d’acheter de super-arme, et qu’à aucun moment vous ne sortirez d’un combat en vous disant : “mon adversaire a gagné parce qu’il a payé…”

L’écran suivant revient sur une notion que j’ai déjà évoqué mais vous permettra au moins de constater LA CLASSE que peuvent avoir des poireaux custom (oui, enfin, ça reste des poireaux, ne vous emballez pas) :

MULTICOLOR! BUNT, BUNT!!

On commence aussi à apercevoir un bel arsenal… et d’ailleurs…

Néo, choisis ton arme !

La guerre c’est caca, mais de toute façon pour les poireaux c’est soit ça soit le pot-au-feu, alors… Notez que vous pouvez donner plusieurs armes à un poireau mais qu’il ne peut en dégainer qu’une à la fois. Par contre, en ce qui concerne les puces (l’équivalent des sorts de magie dans les jeux medfan), chaque poireau dispose de son stock et peut utiliser à tout moment n’importe quelle puce qu’il transporte. La plupart sont utilisées sur soi (soins, protection, boost de carac) ou sur des ennemis (dommages, debuff), mais certaines peuvent aussi cibler des alliés

Et où qu’on achète tout ça ?

Pourquoi les Habs ? si vous captez la référence, dites-moi, je passe à côté (woof)

Gardez en mémoire qu’une fois que vous aurez plusieurs poireaux, vous pourrez dépenser vos jetons de combat sur des combats individuels (un poireau) ou sur des combats d’élever (tous vos poireaux en même temps). Ces derniers rapportent globalement plus de Habs.

Pour finir :

La fin du début !

Comme le préconise le didacticiel, forums et sections d’aide seront très utiles. Vous pouvez aussi me contacter dans le jeu (éleveur Feldo), ou sur ce blog. Et profiter aussi du chat interne au jeu, souvent très actif et amical.

A bientôt donc, là-bas où ici : bientôt un article expliquant plus en détail les premières lignes de code à ajouter/modifier pour votre poireau initial.

About the author

C'est Feldo. Il écrit des trucs qui se veulent ludiques.

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